Insertion scolaire, sociale et professionnelle

Quelques définitions

  • L’insertion scolaire doit permettre, en créant une offre publique de formation adéquate, d’accueillir le jeune, de l’aider à s’engager dans une voie de formation ou d’études, de l’aider à se confronter à une diversité de modes d’apprentissage, de lui permettre de construire et de réaliser son projet, à partir de ses aspirations et de ses acquis, et d’obtenir un diplôme ou une qualification.
    Une insertion scolaire réussie doit permettre d’éviter les abandons en cours de route, sans diplôme, sans qualification et sans réél projet.
  • L’insertion sociale doit permettre à chacun d’apprendre les conditions de la vie en société, notamment dans le cadre de l’établissement. Elle doit viser à préparer chacun, jeune ou adulte, à s’intégrer dans une collectivité humaine, en respectant ses règles, en faisant preuve d’autonomie, de sens de la responsabilité et de sens critique. L’insertion sociale signifie que l’on s’intéresse tout particulièrement aux publics fragilisés ou spécifiques.
  • L’insertion professionnelle doit conduire le jeune ou l’adulte vers un emploi ou une activité au plus près de son projet et de la réalité du marché de l’emploi.

Pour connaître le devenir des anciens élèves et apprentis, le ministère de l’agriculture réalise, depuis 1993, des enquêtes quatre ans après la fin de la scolarité.

L’objectif est de suivre la diversité des parcours des jeunes et de dresser un état des lieux de la situation professionnelle des diplômés de l’enseignement agricole.

L’exploitation des données régionales met en évidence de bons taux d’insertion, notamment pour les jeunes issus de baccalauréat professionnel ou de brevet de technicien supérieur.

Tout savoir sur les chiffres de l’insertion scolaire, sociale et professionnelle.


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